Blessure connue, répandue et étudiée, la commotion cérébrale n’atteint plus uniquement les sports de contact. Nous remarquons de plus en plus des commotions dans l’ensemble des sports, autant en milieu aquatique que sur la terre ferme, la neige ou la glace. La science nous permet maintenant de mieux identifier les symptômes d’une commotion et d’intervenir plus rapidement. Ce n’est plus uniquement les coups à la tête qui sont analysés, mais tous les impacts pouvant transmettre une force impulsive à la tête.
Ce qui est le plus difficile pour les étudiants-athlètes est de changer de vitesse et d’être patient avec son cerveau. Tu es sûrement habitué à être en contrôle. Même avec une blessure, tu peux faire tes exercices et accélérer ta guérison, mais dans ce cas-ci, tu dois laisser le temps faire son oeuvre.
Si tu n’es pas certain d’avoir une commotion, tu peux consulter le protocole mis en place par le gouvernement du Québec sur la détection et la gestion d’une commotion, ici.
Tu peux aussi imprimer et garder avec toi la fiche de suivi, un outil idéal pour faciliter la communication entre ton entraîneur, tes enseignants, tes parents et ton équipe de professionnels.
N’oublie pas que seul un médecin peut confirmer un diagnostic de commotion cérébrale.